数字藏经洞

四分戒本

名称

四分戒本

编号

P.2068

年代

待更新

材质

墨繪紙本

语言

中文

现收藏地

法国国家图书馆

尺寸

简述

待更新

*以下文本内容由DeepSeek与腾讯混元生成，仅供参考。

### Core Contents of the Precepts (Simplified Translation)

1. **Major Offenses (Pārājika)**:
   - Acts such as sexual misconduct, theft, murder, and falsely claiming enlightenment result in expulsion from the monastic community.
   - Example: If a monk intentionally kills someone or incites suicide, he commits a pārājika offense.

2. **Monastic Sanctions (Sanghadisesa)**:
   - Involves acts of sexual desire, slandering fellow practitioners, and disrupting monastic harmony; the offender must confess and be supervised.
   - Example: If a monk acts as a matchmaker to facilitate an affair between a man and a woman, he commits a sanghadisesa offense.

3. **Offenses Involving Property (Nissaggiya)**:
   - Holding prohibited items such as clothing, money, or living supplies; the items must be returned and the offender must repent.
   - Example: If a monk keeps extra clothing for more than ten days without purifying it through donation, he must abandon it and repent.

4. **Daily Conduct (Pācittiya)**:
   - Rules governing behavior such as dressing, eating, and teaching; violators must reflect on their actions.
   - Example: A monk should not enter a layperson's home with his head covered, should not talk while chewing food, and should not teach Dharma to someone riding a horse.

5. **Rules of Confession (Pāṭidesanīya)**:
   - Minor offenses such as taking food without permission or accepting offerings without authorization require confession to other monks.
   - Example: If a monk takes food from an āraṇyaka place when he is not ill, he must immediately confess.

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### Key Points for Practicing the Precepts
- The precepts are recited collectively twice a month; those who have not taken the precepts may not participate.
- Offenders must publicly confess their transgressions; concealing and failing to repent will result in a more severe punishment.
- Emphasis is placed on "protecting the precepts as one would protect one's eyes"; adhering to the precepts can lead to rebirth in virtuous realms.

### Contenu essentiel des préceptes (traduction simplifiée)

1. **Grands délits fondamentaux (Pārājika)** :
   - Comportements tels que l'adultère, le vol, le meurtre et la prétention fausse à l'éveil entraînent l'exclusion du monastère.
   - Exemple : un moine qui tue intentionnellement ou incite au suicide commet un pārājika.

2. **Pénalités communautaires (Sanghadisesa)** :
   - Comportements impliquant des actes sexuels, la diffamation de confrères, et la rupture de l'harmonie dans le monastère nécessitent une confession et un suivi.
   - Exemple : un moine qui agit comme entremetteur pour favoriser une relation illicite entre un homme et une femme commet un sanghadisesa.

3. **Fautes relatives aux biens (Pacittiya)** :
   - Possession illégale de vêtements, d'argent ou d'articles ménagers nécessite la restitution des objets et la confession.
   - Exemple : un moine qui conserve des vêtements superflus plus de dix jours sans les donner doit les abandonner et se repentir.

4. **Règles quotidiennes (Pāṭimokkha)** :
   - Règlements sur le port des vêtements, la prise de nourriture, l'enseignement, etc., qui doivent être respectés ; toute infraction nécessite une réflexion.
   - Exemple : il est interdit d'entrer dans les maisons laïques la tête couverte, de parler avec de la nourriture dans la bouche ou de donner des enseignements à ceux qui sont montés à cheval.

5. **Règles de repentance (Pācittiya)** :
   - Infractions mineures telles que prendre de la nourriture sans autorisation, recevoir des offrandes non autorisées nécessitent une confession aux autres moines.
   - Exemple : un moine qui prend de la nourriture lui-même dans un ermitage sans être malade doit immédiatement se repentir.

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### Points clés de la pratique des préceptes
- Chant collectif des préceptes deux fois par mois, les non-initiés ne peuvent pas participer.
- Les transgresseurs doivent confesser leurs fautes publiquement ; le mensonge et le refus de se repentir aggravent les péchés.
- L'importance de « protéger les préceptes comme on protège ses yeux » est soulignée, car respecter les préceptes mène à des renaissances favorables.

### Core Background of the Fourfold Vinaya

1. **Historical Origins**:
   - Originated from the Vinaya canon of the Dharmaguptaka school in Indian sectarian Buddhism, translated into Chinese by Buddhabhadra in the 5th century, and later refined by Yijing during the Tang Dynasty.
   - It is one of the three major Vinayas in Chinese Buddhism, alongside the *Dharmagupta Vinaya* (Ten Recitations) and the *Mahīśāsaka Vinaya* (Five Divisions).

2. **Structural System**:
   - **Four Pārājikas**: The gravest offenses leading to expulsion from the monastic community.
   - **Thirteen Saṅghādisesas**: Serious transgressions requiring confession and supervision.
   - **Thirty Nissaggiya Pācittiyas**: Offenses related to the management of property.
   - **Ninety Pācittiyas**: Daily behavioral offenses.
   - **Four Pāṭidesanīyas**: Minor offenses with specific procedures for confession.
   - **One Hundred Sekhiya Rules**: Detailed norms for behavior.

3. **Core Philosophy**:
   - The fundamental purpose is to ensure the long-term preservation of the Dharma.
   - It maintains monastic discipline through "pratimokṣa" (prohibitions against evil actions) and "vinaya" (regulations for monastic affairs).
   - It embodies the spirit of "adaptation to local conditions" in its approach to rules.

4. **Historical Impact**:
   - Daoxuan established the Vinaya School during the Tang Dynasty based on this text.
   - It laid the foundation for the monastic management system in Chinese Buddhism.
   - It serves as a primary basis for monastic law in Japanese Buddhism.

5. **Cultural Value**:
   - Preserves historical records of ancient Indian society.
   - Reflects early Buddhist ethical views.
   - Demonstrates the humanistic spirit of Buddhist precepts, such as allowing exceptions for health reasons.

### Le fondement central du Vinaya en quatre parties

1. **Origines historiques** :
   - Issu des textes de la secte « Dharmaguptaka » du bouddhisme indien, traduit en chinois par Buddhyasheya au 5ème siècle et perfectionné par Yi Jing pendant la dynastie Tang.
   - Constitue le Vinaya fondamental du bouddhisme chinois, aux côtés de la *Dharmagupta-vinaya* (《十誦律》) et de la *Mahīśāsaka-vinaya* (《五分律》).

2. **Système structurel** :
   - **Les quatre Parajikas** : les infractions les plus graves, entraînant l'expulsion du monastère.
   - **Les treize Sanghadisesa** : des fautes graves nécessitant une pénitence et une supervision.
   - **Les trente Nissaggiya Pacittiya** : des fautes liées à la gestion des biens.
   - **Les quatre-vingt-dix Pacittiya** : des fautes de comportement quotidien.
   - **Les quatre Paccaya** : des procédures de pénitence pour les fautes légères.
   - **Les cent Aniyata** : des règles détaillées de comportement.

3. **Cœur de la pensée** :
   - L'objectif fondamental est de « faire durer le Dharma authentique ».
   - Le maintien du Sangha est assuré par l'« observance des interdictions » (prohibition des actes malsains) et l'« observance positive » (règlementation des affaires monastiques).
   - Il reflète l'esprit de flexibilité adaptée aux conditions locales, connu sous le nom de « Vinaya adapté à la région ».

4. **Influence historique** :
   - Daoxuan a fondé l'école du Vinaya au début de la dynastie Tang en se basant sur ce texte.
   - A établi le système de gestion monastique du bouddhisme chinois.
   - Sert de base principale aux lois monastiques du bouddhisme japonais.

5. **Valeur culturelle** :
   - Conserve des matériaux historiques sur la société ancienne de l'Inde.
   - Révèle les perspectives éthiques du bouddhisme primitif.
   - Met en lumière l'esprit humaniste des préceptes bouddhistes, notamment l'autorisation d'exceptions pour des raisons de santé.

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